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Par martineB le 24 Septembre 2016 à 18:32
BAMBALI
Chant traditionnel du Sénégal
Bambali est une ville de la région de Casamance au Sénégal, en Afrique.
La Casamance est aussi un fleuve.
C'est une chanson de piroguiers en wolof, une langue du SénégalBamba li bamba
Soyé balibamba
Bamba li bamba yéBamba li bamba
Soyé balibamba
Bamba li bamba yéYé wana toli bayé
Yé wana toli bayé
wana toli bayé
wana toli bayé(OSTINATO : Bamba li bamba li, Bamba li bamba li...etc)
Traduction des paroles :
Ramons à droite,
Ramons à gauche,
Ramons ensemble,
Ramons aussi par là...
Dis, jusqu'où veux-tu aller ?BECAUSE THE NIGHT
paroles données par Marc :
take me now baby here as I am
pull me close, try and understand
desire is hunger is the fire I breathe
love is a banquet on which we feedcome on now try and understand
the way I feel when I'm in your hands
take my hand come under cover
they can't hurt you now,
can't hurt you now, can't hurt you nowREFRAIN
because the night belongs to lovers
because the night belongs to lust
because the night belongs to lovers
because the night belongs to ushave I doubt, baby, when I'm alone
love is a ring, (on)the telephone
love is an angel disguised as lust
here in our bed 'til the morning comescome on now try and understand
the way I feel under your command
take my hand as the sun descends
they can't touch you now,
can't touch you now, can't touch you nowREFRAIN
because the night belongs to lovers
because the night belongs to love
because the night belongs to lovers
because the night belongs to us(MUSIC)
with love we sleep
with doubt the vicious circle
turn and burns
without you I cannot live
forgive, the yearning burning
I believe it's time, too real to feel
so touch me now, touch me now, touch me nowREFRAIN
because the night belongs to lovers
because the night belongs to lust
because the night belongs to lovers
because the night belongs to usbecause tonight there are two lovers
if we believe in the night we trust
because tonight there are two loversBELIEVER
BIDONVILLE
(Bientôt, bientôt,
On pourra se parler, camarade.
Bientôt)Regarde là, ma ville.
Elle s'appelle Bidon,
Bidon, Bidon, Bidonville.
Vivre là-dedans, c'est coton.
Les filles qui ont la peau douce
La vendent pour manger.
Dans les chambres, l'herbe pousse.
Pour y dormir, faut se pousser.
Les gosses jouent, mais le ballon,
C'est une boîte de sardines, Bidon.REFRAIN
Donne-moi ta main, camarade,
Toi qui viens d'un pays
Où les hommes sont beaux.
Donne-moi ta main, camarade.
J'ai cinq doigts, moi aussi.
On peut se croire égaux.Regarde là, ma ville.
Elle s'appelle Bidon,
Bidon, Bidon, Bidonville.
Me tailler d'ici, à quoi bon ?
Pourquoi veux-tu que je me perde
Dans tes cités ? A quoi ça sert ?
Je verrais toujours de la merde,
Même dans le bleu de la mer.
Je dormirais sur des millions,
Je reverrais toujours, (toujours) Bidon.REFRAIN
+
Serre-moi la main, camarade.
Je te dis : "Au revoir".
Je te dis : "A bientôt".
Bientôt, bientôt,
On pourra se parler, camarade.
Bientôt, bientôt,
On pourra s'embrasser, camarade.
Bientôt, bientôt,
Les oiseaux, les jardins, les cascades.
Bientôt, bientôt,
Le soleil dansera, camarade.
Bientôt, bientôt,
Je t'attends, je t'attends, camarade.
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